BIENVENUE SUR LE SITE DE L’HISTOIRE DE
TOURAINE-PLANEUR
Raconter l’histoire de Touraine-Planeur
Depuis fort longtemps déjà, je me disais que la création, ex-nihilo, de l’association Touraine-Planeur et surtout de ses installations : achat de 17 hectares de champ puis création d’un aérodrome (LFJT), d’une piste, de hangars, d’ateliers, de bureaux mais également achat des matériels volants, de l’outillage nécessaire à l’entretien des planeurs et des avions, des matériels de bureaux divers et variés, je me disais que cette création méritait d’être racontée. J’avais, voici quelques années, débuté ce récit sur des pages du site officiel, pages qui semblent avoir disparues.
Aujourd’hui, 3 mars 2017, je débute la rédaction de cette histoire sur ce blog qui permettra à ceux et celles qui ont participé à cette aventure d’apporter leur pierre à cet édifice en n’hésitant pas à commenter les textes.
Comment raconter cette histoire ?
Bien entendu, je ne vais pas raconter au jour le jour les soucis, les problèmes, les emmerdes, les engueulades, le manque rédhibitoire et récurrent d’argent ! Ce serait trop fastidieux et ennuyeux. Je vais raconter par bribes les souvenirs qui sont ancrés dans ma mémoire. Bien entendu, ils ne sont que des souvenirs ! Sont-ils exacts ? Bien prétentieux celui qui répondrait oui à semblable question ! Je vais partager avec vous mes souvenirs, tel que je les ai vécus, ressentis. Parfois également tel que j’ai été blessé, meurtri… mais également souvent quel bonheur telle ou telle décision m’a causé.
L’organisation des récits
Débutant ce blog en mars 2017, j’espère avoir encore le temps d’écrire un maximum sur ce que j’ai ou nous avons tous vécu pour donner naissance puis pour développer ce club auquel je reste tant attaché.
Les récits seront classés dans de grandes rubriques couvrant des périodes de temps variables et variés afin d’organiser un peu l’histoire de notre association.
Nul doute que vous réagirez, amenderez mes textes, corrigerez mes ressentis, expliquerez mes colères, mes frustrations, mes joies. Libre à vous de le faire.
Jean-Pierre COLLE